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Le nouveau président chinois Xi Jinping a affirmé qu’il était vital pour le Parti communiste d’éliminer la corruption en son sein, et que la répression frapperait «les mouches et les tigres», c’est-à-dire aussi bien les petits cadres que les dirigeants.
La corruption est un fléau en Chine qui n’est tempéré ni par une presse libre ni par un système judiciaire indépendant.
Par ailleurs à propos de la mise en cause de Pékin dans les attaques informatiques visant les Etats-Unis, le nouveau Premier ministre chinois Li Keqiang a affirmé dimanche que Washington profère des «accusations infondées». «La Chine est elle-même une victime majeure d’attaques informatiques. La Chine ne soutient pas les attaques informatiques. De fait, nous nous opposons à de tels agissements», a déclaré M. Li dans une conférence de presse. «Nous devons nous garder d’accusations réciproques infondées». A part cette phrase, il a répété mot pour mot la ligne classique de défense des autorités chinoises sur la question du piratage informatique.
Le président américain Barack Obama avait directement mis en garde mercredi les autorités chinoises contre le phénomène croissant des attaques informatiques.
C’était la première fois que le président Obama montait au créneau de façon aussi nette. Les réactions des Etats-Unis à des tentatives de hackers chinois présumés de pénétrer les réseaux de leurs entreprises ou de leurs administrations d’Etat se sont multipliées ces dernières semaines, suscitant à chaque fois des démentis formels du gouvernement de Pékin.